Bonjour je viens de lire la fin et je voudrais savoir quand pourrais je avoir la suite

Bonjour, bonsoir !

Une nouvelle fois, ce sera deux chapitres en un. J'ai eu un peu de mal à trouver du temps pour me poser et lire mais une fois l'occasion trouvée, je n'ai pas regretté !

Le changement de ton de la pemière partie du chapitre 86 m'a un peu décontenancé. J'étais un peu moins fan du style habituel, ça me semblait moins naturel mais en même temps, ça donnait une ambiance particulière qui allait bien (je trouve) avec à la fin du séjour.

Ah, l'aveu de Christian à Thérèse ! Honnêtement, je pensais qu'elle le surprendrait en " flagrant délit " plutôt qu'il ne lui avoue. Un mensonge de moins à tenir, ce n'est pas mal mais maintenant que j'ai lu le 87, je me demande si Thérèse ne va pas se montrer plus curieuse vis-à-vis de la personne qui a su voir que son mari n'allait pas et l'aider. Et du coup, ça pourrait mener à de nouveaux mensonges et je ne suis pas sure que Thérèse en accepte de nouveaux !

Je suis surprise que Lili se soucie autant de la position de Christian, le fait que ce soit forcément lui ait le mauvais rôle. Ca donnait presque la sensation qu'elle prenait son parti par rapport à celui d'Angelo, j'ai trouvé ça étrange comme réaction, je ne m'y attendais pas.

Ca semble se tendre par contre entre Angelo et Magda. Je me demande s'ils vont réussir à renouer...

Deux chapitres très agréables !

J'ai hâte de lire la suite (si, si, même si je les lis par 2 ces derniers temps)

Bonne journée, soirée

Bonjour, bonsoir !

Bonne année 2023 !

Ca fait plaisir de commencer l'année avec un tel chapitre ! Pas d'embrouilles, juste du plaisir !

L'étape d'accepter son corps pour Christian semble en bonne progression. On passe des coins sombres ou des yeux bandés à une salle de bain éclairée, c'est un grand pas !

C'était un peu frustrant que Christian réponde au téléphone alors qu'ils étaient en pleine action. Après, c'est vrai que s'il est censé être joignable par son boulot lors de cette période, je peux comprendre... J'espère que Thérèse n'a pas trop eu la sensation d'être reçu agressivement... Il ne faudrait pas qu'elle décide de rentrer plus tôt !

Je suis en train de me dire que... Il n'aurait pas fallu que son fils décide de passer faire un coucou à son père alors qu'ils prenaient leur bain. Mais j'appréhende une situation de ce style dans les prochains chapitres.

J'ai adoré ce chapitre, hâte de lire la suite !
Et bon courage pour la gestion des priorités mais ne te mets pas trop la pression non plus pour la publication des chapitres !

Bonne journée, soirée

Bonsoir !

Ce chapitre m’aura vachement fait briller les yeux, encore une fois ! Déjà rien que le titre… évidemment, ça fait froid dans le dos quand on pense au bain de minuit, mais en même temps, ça réchauffe tellement de voir là où ils en sont aujourd’hui ! C’est dingue la progression qu’on peut ressentir sur ce chapitre… je veux dire : oui, la culpabilité est encore nettement présente, mais c’est comme si elle n’avait plus la même saveur. Tout ce qui est dit sur l’ombre et la lumière — bien que c’est toujours très présent dans le texte —, semble ici vraiment prendre sa place et annoncer une transition — j’ai l’impression, du moins. Rien que cette baignoire : on est dans l’endroit même où Christian aurait pu ne pas se rater, et où il se sent pousser des ailes face au regard qu’Angelo porte sur son corps. Cette dualité, ce paradoxe, ces contradictions dont Christian parle lui-même semblent s’emboiter ici, comme le dit Angelo, pour créer de fait un équilibre… enfin, c’est comme ça que je le vois.
En dehors de cette scène sublime — je souligne encore une fois la qualité de la plume, bordel, je m’en remets pas ! —, je trouve plein d’autres symboliques très intéressantes. L’image du garage est assez dingue. Le fait qu’on puisse se perdre et disparaître dans le bordel de Thérèse est tellement évocateur de la vie de couple qu’ils ont pu avoir (qu’ils vont peut-être continuer à avoir, j’ai très envie de le formuler au passé parce que je suis bercée par ce séjour, mais je ne sais pas ce qu’il va se passer par la suite…)
Angelo est vraiment incroyablement mature pour son âge, tout ce qu’il dit sur ce chapitre est assez renversant — comme le dit Christian, il y a parfois un côté douloureux dans le réconfort qu’il peut amener, au passage, mais c’est clair que ce gars est hyper lumineux (ils le sont tous les deux, et tellement bien portés par ce texte brillant !).
J’aime l’idée qu’ils pourraient continuer à faire du sport ensemble — peut-être du tennis ? Le fait qu’ils s’accordent autant (aussi avec les jeux, les maths,… sans parler du livre !) est vraiment fou et magnifique à la fois.
Dommage que les appels — la réalité ? —, viennent les arrêter. Ceci dit, je repense au premier appel de Thérèse du séjour qui était presque un soulagement, et je me dis qu’il y a eu énormément de chemin parcouru en très peu de temps en voyant à quoi ressemble le dernier de ce chapitre !

Merci encore infiniment pour ce texte !

Bonsoir !

Ce chapitre est vraiment renversant ! Dès le départ, ça fait tellement du bien de voir qu’ils arrivent à s’apaiser, malgré un cadre franchement pas évident pour Christian. Qu’ils trouvent ensemble des solutions — comme toujours quand ils travaillent en équipe —, fait vraiment un bien fou.
Je trouve l’idée du jeu vraiment brillante ! Elle colle bien à leur dynamique et le côté ludique aide vachement cet aspect « initiateur » qui ne doit pas être évident pour Christian. Ceci dit, ça brise le coeur de voir que ce dernier se sente encore angoissé à l’idée de refuser trop de cartes — alors que c’est tout le principe : se faire plaisir sans se contraindre ? —, mais enfin, les cartes tombent juste parfaitement pour eux (c’est une très bonne — et belle —, chose qu’ils aiment s’entendre, de différentes façons !)
Ils franchissent de fait pas mal de caps. Je suis absolument conquise par leur complicité et renversée par la plume ! C’est superbement écrit. Évidemment, dans le contexte, je comprends le choc après coup pour Christian, mais ça fait mal de voir qu’un plaisir aussi fort puisse laisser un tel ressenti… cette situation n’est vraiment pas évidente : il y a tant de respect et d’amour entre eux, tant de plaisir partagé, mais j’imagine que ce sera toujours difficile pour celui qui a le « mauvais » rôle… enfin, j’aime la façon dont Angelo arrive à trouver les mots pour l’apaiser malgré tout. J’aime définitivement le lien qui les unit !

Merci encore infiniment pour ce texte !

Bonsoir,

Au risque d’avoir des commentaires redondants : l’intensité de ce chapitre, bordel ! C’est hallucinant à quel point on passe par des émotions fortes et a priori opposées, pourtant tout prend sa place et tout vient naturellement… je suis bluffée !
Le début du chapitre tend horriblement… certes, on a déjà pu constater la violence de Christian auparavant, mais la scène des escaliers m’a vraiment emplie d’effroi… sa violence ne vient clairement pas de nulle part, je la comprends, pour autant, elle est vraiment terrifiante à ce moment-là… ceci dit, c’est vraiment rassurant de voir qu’il veut apprendre à la dompter. Et qu’il sait qu’il peut le faire — ça me semble être un énorme pas de sa part dans la bonne direction, ce fait qu’il sait qu’il en a la capacité, et qu’il veut l’avoir pour Angelo (pour lui-même aussi, j’espère…)
Angelo est vraiment extrêmement touchant et impressionnant, comme il le dit très justement, il voit clairement à travers tout ça. C’est difficile de le voir dans cet état ceci dit, j’espère pour tous les deux que Christian se sentira bientôt mieux… difficile à entrevoir quand on le sent en effet fliqué comme il peut l’être. La présence de Pierre et sa façon de fouiller sont réellement oppressantes. Je ne pense pas qu’il s’agisse de paranoïa, peut-être est-ce bien par crainte de l’état de Christian, mais ça reste franchement flippant…
Je trouve vraiment fort que même en « terrain ennemi », quand ils se retrouvent à deux et travaillent dans la même direction, ils puissent s’apporter de tels moments tellement lumineux. Je n’aurais franchement pas cru sur le début du chapitre que ce dernier me ferait sourire à pleines dents : défi brillamment relevé (est-ce vraiment surprenant avec Survie de passer de tensions viscérales aux yeux qui brillent par-dessus un sourire conquis ? en soi, oui, c’est tellement génialement surprenant — et pourtant tellement naturel —, qu’on se laisse prendre à chaque fois !)
Et ce « détail » des horloges… sachant l’obsession que Christian a pour le temps… cette accumulation de décorations, ces horloges, cette absence de clefs… il y a sans doute une grande part d’ignorance de la part de Thérèse, je ne pense franchement pas qu’elle le fasse volontairement (en effet, son amour pour lui semble sincère) mais, le connaissant, tout semble être minutieusement mis en place pour le rendre dingue…

Encore un énorme merci pour ce chapitre, ce texte est vraiment incroyable !

Bonsoir,

Encore de sacrées montagnes russes sur ce chapitre… Christian s’est vraiment plié en quatre pour Angelo, mais je comprends les inquiétudes de ce dernier… il y a bel et bien des tas de changements en peu de temps, et rien que de les retrouver dans ce cadre, ça a quelque chose d’irréel. C’est tellement « banal », un repas en tête à tête, mais dans leur cas, ce n’est pas étonnant que du « banal » prenne ce genre de proportions… c’est tellement touchant, et ça brise aussi le coeur, de voir à la fois tous les efforts que fait Christian pour passer le meilleur moment possible, et toutes les incompréhensions d’Angelo face à ça… ça noue vraiment les tripes, d’autant plus qu’on sait très bien qu’ils cherchent tous les deux à se faire du bien et à se plaire…
C’est beau de les voir fonctionner en équipe, ça apaise vraiment. C’est dur d’entendre certains mots de Christian, d’entendre qu’il va encore si mal — bien qu’on le sait pertinemment —, mais le fait qu’ils aient réussi à crever l’abcès fait vraiment du bien. Après toutes les tensions ressenties, on se fait vraiment bercer par l’orage avec eux. On se fait happer par l’étreinte…
Et cette déclaration finale, c’est fou ce qu’elle peut me faire fondre !

Merci encore infiniment pour ce chapitre !

Bonsoir !

Ce chapitre est assez perturbant — dans le bon sens, toujours ! Que ce soit du côté de Thérèse ou du côté de Sarah, il semble y avoir de véritables remises en question et inquiétudes mêlées… je n’arrive pas à imaginer ce qui a pu mettre Thérèse dans cet état… j’ai du mal à me dire que ça ne vient de nulle part, ceci dit, c’est vrai que ça fait un moment que les tensions s’accumulent, peut-être que la pression supplémentaire liée à la belle-sœur l’ont fait craquer ? C’est vraiment perturbant parce qu’elle est touchante et semble vraiment vouloir retrouver Christian, mais quand on voit la véritable tendresse qu’il y a entre Angelo et lui, ça ne donne pas tellement envie qu’il recolle les morceaux avec elle…
Du côté de Sarah, je crois qu’elle a vraiment eu très peur de la scène avec le couteau et que son respect a grandi en voyant Christian débarquer au jeu — j’ai encore des vertiges en pensant à ce plan, c’est vraiment terrible ! Certes, la volonté reste de se rabibocher avec Angelo, mais elle semble réellement prendre Christian en considération… c’est une sacrée évolution, même si je ne suis pas rassurée à l’idée de la façon dont elle pourrait mettre ça à exécution !
En tout cas, je me demande quel impact ces échanges vont avoir dans ces deux duos (Christian-Thérèse et Angelo-Sarah)…
Ces réflexions mises à part : Angelo ne refusera jamais la proposition de Christian ! Ça me touche et ça me brise un peu le coeur à la fois que Christian puisse même imaginer que cette proposition soit rejetée — qu’il soit rejeté. Je comprends néanmoins son angoisse : vivre avec quelqu’un, c’est tout de suite autre chose… et c’est encore une autre façon d’officialiser… sacré tournant en perspective !

Merci encore infiniment pour ce texte !

Bonsoir !

C’est difficile de s’exprimer sur ce chapitre… on se sent véritablement désorienté avec Christian… c’est terrible que la réaction d’Alain, Magda et Lili qui pourrait sonner pourtant si positive entraine un tel choc chez lui… assez logique, mais terrible… c’est vrai que leur histoire pourrait leur échapper en se propageant, et puis c’est un vrai choc d’univers pour un Christian déjà bien perdu…
J’aime définitivement le lien entre Angelo et Christian. J’aime le fait que — même s’il n’est pas encore prêt à quitter cet univers qui ne semble pourtant pas lui appartenir —, Angelo reste un repère sur lequel il peut se reposer lorsqu’il perd pied. J’aime les voir ensemble, même si le fait que Christian ressente le besoin de s’enfermer seul dans sa maison est vraiment angoissant… ainsi que le fait qu’ils s’endorment, même dans la planque de Christian… c’est à la fois doux et terrifiant, ça bouleverse…
J’en perds mes mots, ce chapitre a vraiment le don de désorienter, même s’il laisse aussi un sentiment de réconfort dans le nid qu’ils arrivent à se construire là-dedans…

Merci encore infiniment pour ce texte !

Bonsoir,

Je suis bluffée par ce chapitre ! Comme toujours en venant ici, mais je veux dire… c’est juste dingue tout ce qu’il s’y passe ! (je suis notamment bluffée par le fait que tout s’enchaîne si naturellement malgré tout ce qu’il s’y passe !)
Mais cette situation de base… la fin du chapitre précédent laissait entrevoir que ça allait être terrible, mais voir Christian débarquer, ça coupe carrément le souffle ! On a vraiment la sensation de le voir sauter dans le vide et de ne rien pouvoir faire pour le rattraper… et un peu comme lui : je voyais déjà le monde exploser face à ça, ça fait un bien fou de constater qu’on est dans l’erreur ! C’est surréaliste et paniquant de le voir jouer le jeu… angoissant autant pour lui que pour Angelo qui comprend très bien son geste… c’est tellement étrange de se laisser prendre par l’euphorie de la partie, mais de ressentir une euphorie si sombre, c’est un sentiment super particulier…
Le rappel des toilettes, malgré le contexte, fait du bien. La dernière fois, c’était un sourire bien mouillé de larmes, là c’est à la fois une pression intense et énormément de tendresse… bordel, c’est tellement dingue de faire naître autant d’émotions aussi intenses dans une seule scène !
Enfin je suis tellement soulagée que l’accueil semble assez chaleureux. Après toute cette impression d’inéluctable, ça fait vraiment du bien. Voir Christian et Sarah faire équipe est carrément étrange — même si, après coup, leur mensonge me rassure pas des masses… c’est vraiment terrible ce chapitre, toutes ces situations hyper angoissantes sur fond de jeu, avec toujours cette sensation que quelque chose va peter, et en fait, non…
J’espère en tout cas qu’avoir de nouveaux alliés pourra les aider, même si tout ceci a dû être excessivement éprouvant, et qu’il y a de plus en plus de personnes au courant, aussi…

Encore une fois : ce chapitre est vraiment bluffant ! Bravo, et encore merci !

Bonsoir !

Et encore un chapitre intense qui amène tellement de réflexions… ça faisait un moment qu’on avait pas eu le point de vue de Sarah, ça perturbe — dans un sens très intéressant ! —, de l’avoir à ce stade. Elle est pour moi à la fois touchante et terrifiante… elle essaie de bien faire, c’est terrible, mais le coup du téléphone… et puis sa façon de voir Christian — enfin, c’est vrai qu’elle en voit peu, mais les adjectifs le qualifiant sont si durs et si éloignés de la réalité… merde, je m’en remets pas…
L’état de Christian est vraiment paniquant. Je pouvais ressentir qu’il se prenait en effet les mots de Sarah comme des coups de poignard, mais le voir carrément l’inviter à la poignarder, ça fout vraiment les jetons… je comprends qu’il puisse les prendre ainsi, il se bat réellement depuis un moment, et se prendre toutes ses peurs et ces reproches qu’il se formule déjà bien assez dans la tronche, c’est vraiment violent…
Ça retourne assez bien qu’ils aient eu à réellement se blesser — carrément physiquement —, pour se calmer et un peu mieux se comprendre — même si on n’est clairement pas encore sur un rapport cordial. Ça doit faire du bien — je l’espère —, à Christian d’avoir des mots plus doux sur le sujet, surtout de la part de la dernière personne dont il aurait cru en recevoir, je pense (puis il se soigne en les écoutant, c’est tout de même plutôt bon signe, même s’il a fallu insister pour qu’il le fasse...) Et Sarah semble avoir une vision un peu moins erronée de lui, et semble véritablement motivée à l’aider — même si une grosse partie de sa motivation repose sur le fait d’être amie avec Angelo, mais enfin, ça ne semble plus être uniquement ça (ou je suis naïve). C’est un sacré revirement de situation !
Mais ce plan… bordel, ce plan est affreux ! C’est horrible de voir que les intentions derrière sont véritablement bonnes, mais… c’est même plus terrifiant à ce stade… et puis Christian coupé de son téléphone… merde, elle a pas idée, mais c’est d’une violence ! C’est vraiment paniquant…

Ce chapitre est juste dingue ! Merci encore infiniment pour ce texte !

Bonjour !

Encore un chapitre très intense… c’est pas facile de voir Angelo se refermer ainsi de plus en plus et avoir ces excès de violence, encore moins de le voir souffrir... Je comprends totalement la colère et les frustrations qu’il ressent, puis sa recherche de solutions dans cette situation qui semble inextricable… l’état de Christian est aussi alarmant, ceci dit ça me rassure qu’il favorise au moins le sport à ses pulsions autodestructrices… c’est triste de voir qu’il ait tant de mal à se sentir désirable, alors que, clairement, il plait énormément…
J’ai l’impression que Sarah essaie de bien faire même si, ouais, ça doit être violent à recevoir pour Angelo qui la sent responsable — puis elle est quand même assez maladroite dans sa façon de parler de Christian, même s’il semble qu’elle cherche à faire des efforts de ce côté aussi !
Je trouve oppressant les messages d’Alain, mais je crois que son inquiétude est sincère… j’ai l’impression… ceux de Magda sont plus doux… et la pauvre Lili qui deviendrait oppressante juste parce qu’elle a été mise au courant… c’est pas évident…
C’est vraiment pas une situation facile… mais ça me touche — et malgré la boule au ventre, ça me fait fondre —, de voir que Christian et Angelo trouvent toujours le moyen de s’apaiser malgré tout...

Merci encore pour ce texte ️

Bonjour, bonsoir !

Finalement, pas d'embrouilles dans ce chapitre. Pourtant, je m'attendais à ce que leur petite bulle vole en éclat d'un moment à l'autre ! Bon, j'imagine qu'ils ont eu de la chance avec les cartes. Je ne suis pas sûre que Christian aurait assumé de se retrouver à poil et les yeux bandés face à Angelo, ah ah !

Je me demande s'ils vont poursuivre le jeu une prochaine fois... Et s'ils vont rester avec la catégorie Découvertes !

J'étais étonnée que Christian accepte de jouer dans le lit où Thérèse dort et également qu'il y ait un tel revirement par rapport à la veille (il l'avait quand même poussé dans les escaliers pour le mettre à la porte... Ca fait un peu peur ces changements d'avis).

Sinon, très drôle de voir Angelo apprendre du nouveau vocabulaire ah ah ! Bon, l'histoire de son âge me préoccupe toujours mais bon, je crois que j'aurai toujours du mal avec ça.

Super chapitre, j'ai hâte de lire la suite !

Bonne journée, soirée

Bonjour !

Ce chapitre me bouleverse énormément… encore une fois, tu me voles mes mots, c’est vraiment difficile d’en sortir pour en parler. Je comprends tellement l’angoisse de Christian, mais c’est terrible, elle me met en colère en même temps, pas contre lui, contre toute la situation… j’aimerais tellement qu’ils puissent juste écouter leurs instincts, qu’ils arrêtent de lutter contre eux ! En soi, ils peuvent, mais moi-même je ressens un vertige face à la situation, alors j’ose pas imaginer celui qui peut les freiner - surtout Christian qui a le « mauvais » rôle…

Je suis vraiment inquiète pour Christian. Le mensonge de ce chapitre est peut-être le plus terrifiant de tous. Qu’il promette à Angelo qu’il le contactera s’il va mal sans rien en penser, c’est vraiment terriblement angoissant… j’adore la confiance aveugle qu’Angelo porte à Christian, j’adore leur lien, mais j’espère que sur ce point, il aura quelques doutes… j’ai pas envie que Christian se retrouve seul à nouveau - j’ai pas envie qu’Angelo se retrouve seul à nouveau non plus… je veux pas qu’ils se perdent… c’est tellement doux quand ils sont ensemble, loin des autres (y compris des pensées qu’ils peuvent amener, ces autres) mais c’est vrai qu’ils ne peuvent pas tout à fait s’extraire du monde… ceci dit, j’aime quand ils y arrivent à leur façon, en étant ensemble…

C’est encore une sacrée montagne russe d’émotions, ce chapitre… merci infiniment pour ça !

Bonsoir !

Je finis ce chapitre un peu comme il commence : heureuse et inquiète. J’en ai du mal à trouver mes mots ! Mais bon sang, que j’aime les échanges entre Angelo et Christian… puis c’est chouette de voir Angelo dans son nouveau quotidien aussi, on sent une vraie affection pour ses tuteurs… et le fait qu’il raconte tout ça à Christian, ça met assez bien des étoiles dans les yeux ! Même si on ne sait en effet pas si Christian sourit de l’autre côté - mais c’est vrai qu’il s’ouvre de plus en plus, et lui, il nous fait énormément sourire (c’est vrai qu’il est super lumineux, Christian, j’espère qu’il finira par s’en rendre compte…)

J’étais assez tendue pendant l’échange avec Alain et Magda… pas facile de ne pas se crisper avec Angelo : c’est sûr que ce n’est pas évident de partager le lien qu’ils ont avec Christian sans pouvoir vraiment s’attarder sur le sujet… difficile de défendre quelque chose dont on ne peut pas trop parler… je peux comprendre l’inquiétude de Magda et Alain, ça fait probablement d’eux des amis attentionnés, mais dans le contexte - même si c’est pas forcément le cas - ça devient vachement agressif, le ressenti que ça laisse… j’aimerais qu’ils entendent plus le « on est heureux », mais c’est pas évident…

Et le dernier message… j’ai tellement les yeux qui brillent, même si je ressens une certaine angoisse en pensant à celle qui a sans doute dû étreindre Christian… mais c’est tellement sublime qu’il offre ça à Angelo, qu’il se dévoile de plus en plus… merde, je l’aime trop, leur lien ! Comme je le disais : j’en perds mes mots. Je suis heureuse et inquiète, parce que c’est beaucoup trop beau, mais c’est pas toujours facile de voir l’angoisse que peut laisser la situation dans laquelle ils sont…

Merci encore infiniment pour ce chapitre !