Reviews for Colorblind |
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![]() ![]() ![]() merci pour ce chapitre mais j'ai pas vu d'explication concernant là fin du chapitre precedent. Encore merci Biz Miruru |
![]() ![]() Coucou ! Je ne vais pas faire de commentaire constructif avant d'avoir fini de lire en entier, sinon je suis pas sortie, comme pour Twilight. Je dépose juste exceptionnellement un commentaire pour faire remarquer que dans ce chapitre, j'ai presque l'impression que Gabriel n'est pas Daltonien. Je veux dire, il n'est pas question de rouge, mais il semble capable de distinguer le vert ... Alors je me demandais si c'était une inattention ou simplement que tu avais jugé qu'on avait compris qu'il devinait les couleurs, ou bien que c'est vraiment uniquement les nuances de rouges qui lui posent problème... Vu qu'il ne voit pas le jaune non plus, d'après le commentaire quitte au chat, je pensais qu'il avait vraiment les deux problème ... (oui je sors d'un cours sur les deutéranope, protanopie et tritanopie, et ça m'a fait drôle, juste quand j'étais en train de lire ça !) |
![]() ![]() ![]() J'ai adoré cette fiction tout autant que la précédente. Je n'ai pas laissé de review à chaque chapitre mais j'ai apprécié chacun d'eux. Tu as toujours autant de talent et j'ai hâte de lire de nouveaux écrits. A la prochaine |
![]() ![]() ![]() Tout d’abord, Zut ! pour n’avoir pas saisi qu’il s’agissait du titre et non de l’épilogue en soi, lol. Et là, je réalise à la fin que ce n’était pas des « tirets » mais des « moins » au niveau des numéros des chapitres. Moi quiche en math ? Naan jamais… Du coup, ç’en devient encore plus poétique… Vi, va falloir que je fasse évoluer mon vocabulaire.. -_-« *Là encore, on va reviewer au fur et à mesure de la lecture. :p Deal with it.* Déjà c’est génial de découvrir qu’il a fait l’effort de se prendre en main. Quatre ans, donc 22 ans (nan, pas si quiche que ça en maths finalement… Quoi, c’est un calcul facile, tu crois ? Pas si sûr.) Personnellement je ne voyais pas Chris et Lena tenir autant de temps à jouer les babysitter. Je ne sais pas, j’ai toujours l’impression que si on a fait prendre la bonne décision à Sacha de partir, Chris et Lena n’étaient pas les mieux lotis. Parce qu’eux, ils ont un peu mis leur vie – peut-être pas de côté – mais au diapason de celle de Gab. En cela ce sont des amis géniaux… Mais l’éternelle question est : est-ce que c’est mérité. Gabriel a intérêt à leur en être reconnaissant. J’adore le cynisme de Christophe. Cynisme qui doit certainement refléter le tien. Et j’ai toujours du mal à chaque fois que je sens une espèce de ressentiment de Chris envers Sacha. Franchement, il ne s’en prend pas à la bonne personne. Je connais un certain « Isaac » qui mériterait mieux ce ressentiment et cette rancœur sous-jacente de Chris qui ne dit pas son nom. La première impression que me laisse ce début de chapitre est cette sorte de résolution, de détermination, pourtant vacillante. Ayant connu Gab du côté morne et gris de la force, je n’arrive pas encore à me dire qu’il a eu le temps de développer les ressources nécessaires pour gérer un scénario catastrophe. Genre il débarque à Moscou pour tomber sur Sacha et une Anna enceinte de lui. Je sais à 22 – 23 ans c’est tôt, mais c’est faisable… Et puis il y va quand même pour un an… Allons lire la suite au lieu de s’inventer des scénarios… Je ne sais pas pourquoi, mais voir Lullaby égal à lui-même m’a hautement rassuré, LOL. Je me suis souvenu qu’il y a des choses qui ne changent pas et la vie est une belle chose. Il suffit de se mettre du bon point de vue… Ce chat me rend philosophe. Mode Confucius off. Les inquiétudes reviennent. Gab va avec cet espoir, de raviver cette petite flamme liée à son conte de fée. Mais a-t-il tout pris en compte ? Parce qu’il va falloir s’intégrer dans le cercle de Sacha (ce garçon si social comme tu dis) Va-t-il être accepté ? Si oui, va-t-il être accepté TOTALEMENT à savoir, Gabriel, cheveux bruns, gay et dingue de Sachienka… même quatre ans plus tard ? J’ai ma petite sœur qui vit en Russie, et de ce qu’elle me dit, ce pays est particulier. S’il voue presque un culte à la gent féminine, il reste fermé à certaines valeurs liées à la gent masculine… Je ne sais pas si je suis clair, lol. Bref. Déjà, je ne sais pas si t’es au courant de cette histoire de censure des œuvre littéraire gay à St Petersburg (Ce pays est globalement homophobe, mine de rien. Comme beaucoup d’autres d’ailleurs…) J’ai une boule au ventre là. J’ai peur qu’il lui arrive quelque chose de triste. Je m’inquiète pour lui. C’est vrai quoi. Je l’aime bien ce petit, malgré son côté dépressif. Je veux plus qu’on le fasse souffrir. Le choc culturel, j’adore. C’est toujours plus facile d’aller d’un pays aux normes sécuritaires frisant le Kamikaze, vers un pays aux normes sécuritaires « civilisées » on va dire. Pour venir d’un pays d’Afrique, je sais de quoi je parle. L’inverse crée toujours des situations cocasses. Et il faut le VIVRE pour le CROIRE ! XD. Courage Gab ! A ce stade de la lecture je réalise une chose. Le lecteur n’a aucune idée de la situation de Sacha. Ce dernier sait-il que Gab arrive ou bien l’autre compte-t-il lui faire la surprise ? Apparemment tout le monde aime les surprises… espérons que Sacha soit inclus dans ce « tout le monde ». Une école primaire… Sacha est prof ? Les retrouvailles… Merci de m’avoir autant faite sourire. Pour le coup, la boule d’angoisse s’est volatilisé et quelque secondes. J’adore ses inquiétudes si futiles et tellement vraies au sujet du célibat de Sacha. Et aussi la façon qu’il a de nous faire comprendre que Sacha lui fait toujours autant d’effet, voire plus à en croire sa comparaison avec le Russe lambda… J’ai fondu comme un marshmallow sur une plaque chauffante en lisant le message écrit dans le manuel de Russe. Il ne me manquait plus que les violons… Putain, ils ont encore failli me faire pleurer…. J’avais l’air d’une idiote devant mon ordi en salle info, en mode « HOW SWEET » ! J’ai déploré ne pas pouvoir le dire en russe ! Raaah, ton romantisme me tue ! Et là, BAM retour à la réalité. Si cette belle déclaration est « d’actualité » pour Gab, l’est-elle toujours pour Sacha ? Allons lire, allons lire ! Ah, ce n’est pas Lully… au temps pour moi ! Et là tu confirmes encore le fait que Sacha a un destin disons plus « doomed » que celui de Gab. Franchement, à te lire, on croirait que ce pays, la Russie est un champ de bataille… Mais venant d’un pays où la vie de tous les jours est un parcours du combattant, je suis bien encline à te croire. Alexeï… Ton sadisme est remarquable, à ce stade. Moi aussi je me suis figée à la description de l’appart de Sacha et j’ai BENI Armand. On devrait le béatifier… Au fait et Nessa ? J’ose espérer qu’elle a aussi jouer les intrigueuses dans le dos de Gab. Ah ouais, quand même. Ce nouveau Sacha est intriguant. Ces conditions qu’il pose à Gab sont radicales. J’espère juste que le temps ne le leur fera pas regretter. Mais le plus surprenant encore, reste ce Gab qui accepte aussi facilement, sans partir dans une introspection interminable et inimaginable. J’avoue que ça m’a déboussolé… Bah vi, j’étais habituée au soliloque sombre de ce cher Gabriel, moi. Ça me manquerait presque, tiens. LOL. C’est une belle fin. J’ai littéralement adoré. Ça fait du bien, un bien fou de le voir enfin comme ça. On a envie de dire avec la larme à l’œil, il a grandi, mon petit Gab, c’est un homme maintenant… Sortez les violons Ahem. Quoiqu’il en soit, avec cette fin, je pense que je pourrais me plonger sans trop de soucis dans une relecture de cette belle fiction. Merci pour cette aventure… Et comme tu dis, on sait où te trouver si on veut te harceler pour savoir si tu es toujours vivante. Bon courage pour tes autres fictions. La fantasy, c’est pas facile. Je m’y suis essayé, mais tout est en stand-by en ce moment à cause de ma dernière fiction en date qui a grillé la politesse aux plus anciennes. (Quoi, comment ça je fais ma pub ? Vi j’avoue. _ Si tu as du temps à tuer pendant d’éventuelles vacances, je serai ravi d’avoir ton opinion sur ma fiction HOT CHILI. (du moins les chapitres qui sont M.A.J) Ce serait un honneur quasiment !) Pour en revenir à la fantasy, je trouve que c’est assez codifié ce style littéraire. (Comme tout style, tu me diras.) En tout cas pour ressortir une histoire sympa, certains lieux communs se doivent d’être respectés et je suis sûr que tu nous pondras quelque chose de génial. Donc BON COURAGE ! Et que ton imagination se lâche. ! Good « vaïbes » ~ ~ ~ ~ PS : ton amour pour les chats se ressent beaucoup dans cette fiction. J’ai aimé cette touche « féline » ! A très bientôt ! |
![]() ![]() ![]() ET pourtant… Et pourtant, je pleure très rarement, mais j’avais les larmes aux yeux en lisant le début. J’ai failli te maudire en voyant ce que tu faisais subir à Sacha. Et je me suis prise à espérer : il va rester. Après ce qu’il a vu, il ne partira plus. Mais d’un autre côté, je me dis que rester non pas par amour mais pour maintenir l’autre en vie, est-ce une vie ? Et l’égoïsme de Gab m’a agacé plus que jamais, tu ne sais pas à quel point. Mais là encore une part de moi me disait que s’il a eu recours à cet acte extrême c’était presque par amour. Il ne se voyait pas continuer sans son Sacha. MAIS TOUT DE MEME ! ME FAIRE PLEURER, MOI ! Ils sont culottés tes personnages ! (Oui, les deux vont en prendre pour leur grade à ta place, ô auteure sadique !) *Je commente au fur et à mesure de ma lecture*_ Dans cette histoire, on ne sait pas qui en vouloir. Doit-on seulement en vouloir à quelqu’un ? A quoi bon ? A quoi s’attendait Gab ? Il savait pertinemment qu’il détruirait non pas une personne mais plusieurs. Il n’y a pas que Sacha qui se reçoit les éclats de cette grenade dégoupillée sans crier gare. Chris, Vanessa, Armand et certainement Lena qui n’a pas encore fait son apparition… Je ne parle même pas des parents. On va éviter de nager en eaux troubles. Déjà qu’elles sont bien troubles comme ça. Et ce que je craignais qui se produit. Sacha qui se met à discourir par peur, dépit et on ne sait quoi d’autre, mettant sa vie entre parenthèse, pour ne pas dire en cage, pour les beaux yeux de son ange Gabriel. Ce dernier ne me dira pas qu’il n’avait pas pensé que les choses ne se dérouleraient pas ainsi… En même temps, il ne pensait certainement pas revenir à la vie. Ah là là. En fait j’ai tellement de mal avec le concept du suicide que je reste sur le cul et déboussolée, ne sachant quel émotion prime sur la colère, le dépit, la révolte, la tristesse et la joie de le savoir vivant. En fait le suicide fait partie de ces actes dont les cicatrices ne disparaissent jamais. On les garde à vie et inutile de se dire que les choses entreront dans l’ordre un jour. Il y aura certainement un meilleur scénario, mais ça ne sera jamais plus comme avant comme tu l’as si bien dit. Ce chapitre, même s’il est meilleur que le précédent à cause du fait qu’on a évité le pire, reste quand même aussi dur à lire. Voire plus. Du moins au début. Le pauvre Sacha. Il m’a fait me marrer quand il s’est senti chevalier dans l’âme. Tu arrives à imprimer de l’humour dans ce moment tendu. J’adore. Qu’est-ce que tu ne fais pas vivre à ces deux-là, hein ! Ça va te sembler bizarre, mais pour moi, si on devait mettre sur la balance le poids des souffrances de chacun, celles de Sacha pèseraient plus lourd. Ce gamin déraciné loin de chez lui est orphelin de père… à moitié de mère (parce que sa mère n’a plus qu’une demi-vie pour moi) et il a failli perdre son petit-ami. T’as pas fini de le balloter entre les mains de la mort ? Et dans tout ça, on lui demande d’être fort pour éviter que le poids de Gabriel ne le fasse ployer puis casser. Le souci de Gabriel a été de tomber amoureux de la mauvaise personne avec Isaac. Certes ses parents brillaient par un absentéisme flagrant. Mais il y a des orphelins de père et de mère qui sont plus radieux que ce garçon ! S’il y a quelqu’un à plaindre dans cette histoire c’est d’abord Sacha, ensuite Gab. Mais comme je dis, à quoi bon en vouloir à quelqu’un ? (oui, c’est ma minute, cassons du sucre sur le dos de Gabriel que j’adore pourtant. Mais là, Sacha lui grille la politesse !) Et là tu me plonges dans le gouffre du désespoir avec cette histoire de paralysie partielle. Parce que BORDEL, il est « peintre » le Gabriel et nageur à ses heures perdues. (Ou est-ce l’inverse ?) Comment as-tu pu faire ça ? Le Marquis de Sade devrait certainement bien s’entendre avec toi, je crois. Non tu crois que j’y vais un peu fort ? Mon sadisme à moi avec mes personnages ne t’arrive pas à la cheville. Je dois en prendre de la graine, là. Chapeau ! (Comment ça, je ne devrais pas te féliciter pour ça ?) J’insiste, chapeau. Pour éviter d’être balloté dans tous les sens émotionnellement, j’essaye de lire de façon détachée mais inutile de te dire que c’est en vain… C’est dur de prendre à cœur les ressentis de ton couple torturé. En même temps tu l’écris tellement bien que le réalisme nous saute aux yeux et s’impose de façon naturelle. On ne peut que s’incliner… et souffrir avec tes personnages. Le « rentre à Moscou ». Je ne sais pas pourquoi mais finalement ça a été l’ultime acte d’égoïsme. Oui, je suis paradoxale, mais c’est la faute à Gab, aussi. Vas-y que je te pourrisse ton mental et puis je te demande de faire ta valise et de rentrer chez toi, sans père ni mère, renouer avec des gens qui ne te comprendront pas après ces deux ans passés à essayer de réparer un homme qu’on a eu dans la peau. Beau présent d’adieu. Comment ça, je suis trop cynique ? C’est vraiment dur de suivre le point de vue de Sacha. Le sentiment général que j’ai tandis qu’il fait ses valises, c’est : Quel beau gâchis. Ça fait mal, mine de rien. Finalement il fallait s’arrêter au précédent chapitre, lol. Je crois que je serais restée avec ce gros POURQUOI, mais j’aurais eu moins mal que maintenant. Comment tu fais pour rédiger tout ça sans déprimer ? La scène d’amour… Comment réussir à annihiler tout mon ressentiment en une partition. Pour le coup, j’ai encore eu envie de pleurer… Je me suis juste retenue pour ne pas avoir l’aire conne à 4h du mat à pleurer devant du sexe symphonique, une scène d’amour transcendée musicalement par tes soins. Et j’étais là à me dire, « non, pas déjà ! » parce que oui, putain que ça sentait la fin ! Aucun mouchoirs n’a été torturé, cela dit… Bref, je les aime tes personnages. C’est dur de s’en séparer. Mais la touche d’espoir reste là et je t’en remercie. Ils se reverront, je veux y croire. Et même si toi tu changeais d’avis, je persisterai à croire qu’ils se reverront... ET SURTOUT, ne se feront plus autant souffrir. Parce que ça commençait vraiment à bien faire ! Donc voilà. Epice s’est calmée. J’ai presque envie d’arrêter de lire à cet endroit, avec la déclaration solennelle de Sacha qui l’aimera toujours et à jamais… Mais, la curiosité est un vilain défaut et je me dois de savoir la fin. (* « La fin » plus tard…*) Et la poésie mélancolique prend fin. Ce que je retiendrais de COLORBLIND c’est sa POESIE. Elle est triste, mais les plus belles poésies sont aussi les plus tristes je pense. Parce que c’est facile d’écrire du bonheur. (Même si ça ne l’est pas de faire rire.) Ecrire la douleur, la souffrance, la noirceur et la rendre agréable à lire, tendre et touchant, pour moi c’est faire de la poésie. Et l’exercice a été brillamment réussi. J’ai adoré la flamme de rage dans les yeux de Gabriel vers la toute fin ? Oui je mets le point d’interrogation à cause de sa relativité. Fin d’un moment mais début d’un autre, indubitablement. Et la promesse de Sacha de remplir son ciel d’étoiles… Il ne reste plus qu’à leur souhaiter tout le bonheur du monde, en espérant que tes bonus ne soient pas aussi sombres que les chapitres en soi. Sinon, je leur botterai les fesses parce qu’ils n’auront RIEN appris ! A la revoyure ! Et hâte de te lire à nouveau dans une nouvelle grande aventure de poésie… peut-être plus folichonne. Hein ? (Non, je ne te fais pas du pied sous la table pour COMMUNICATION, pas du tout ! ahem…) PS : en attendant, ayant récemment découvert comment faire des line-art avec Photoshop, je suis en plein recyclage de mes dessins de Zach/ Zach & Violaine/ Vincent/ Vincent et Noah. |
![]() ![]() ![]() Bonjour. Bravo pour cette magnifique qui a été parfois un peu difficile à suivre. Armand est définitivement un filou! Je suis contente que les héros se retrouvent. Colorblind est vraiment une belle chanson et le chanteur de Counting Crows l'interprète toujours à fleur de peau, c'est intense. Je te souhaite une bonne continuation. Au plaisir de te suivre pour une prochaine histoire (?). Bye |
![]() ![]() ![]() Merci pour ce chapitre qui clôt vraiment bien l'histoire |
![]() ![]() ![]() j'aime cette fin :) |
![]() ![]() ![]() Attend, c'est fini ? Genre pour de bon TT! Faudrait que je relise ta fiction pour en faire une bonne analyse, d'attendre les chapitres ça me fait oublier de grosses parties de l'histoire ' On se reverra donc xD |
![]() ![]() ![]() Gabriel venait à peine de débarquer à Moscou que je sentais déjà les larmes me montaient aux yeux. Comment aller se passer leurs retrouvailles après tout ce temps ? J'étais sérieusement anxieuse! Et leur étreinte tant attendu est arrivée ... Sacha avait toujours les yeux brillants à sa vu, il ne l'avait vraisemblablement pas oublié et l'aimait toujours ... J'étais tellement heureuse que j'ai dû affiché un sourire niais derrière mon écran ! Aaaah, c'est vraiment un pur bonheur qu'ils finissent ensemble ! Mon cœur était vraiment oppressé ces derniers chapitres avec Gabriel, sa tentative de suicide, leur séparation ... Je me sens plus sereine à présent. Un grand merci à toi pour m'avoir fait vibrer tout du long ! |
![]() ![]() ![]() 4ans, mais au moins ils se retrouvent :) ! Par contre, je ne sais pas si la vie à Moscou est si cool que ça. J'ai peut-être une mauvaise image de ce qui est donné par les médias, etc. Mais il me semble qu'au vue des loyers là-bas, il est courant que plusieurs familles partagent un même appart non ? Ensuite, la Russie qui vient de passer une loi pour que même le fait de simplement parler de l'homosexualité soit interdit et puni par la loi... Voilà quoi... Du coup, j'avoue que je me demande pourquoi Sasha veut autant rester vivre en Russie, et comment Gabriel pourra y rester et s'en sortir et tout :/ . Il s'avère que mon petit ami est d'origine russe d'ailleurs (et avec un nom de famille qui ne porte pas à confusion), mais c'est clair que je ne me verrais pas partir vivre en Russie du tout. |
![]() ![]() ![]() Moment pour une petite larme de joie! J'avais arrêté de lire il y a deux ou trois chapitres ne supportant pas que l'histoire se finisse mal (oui je préfère rater une fin que pleurer sur des mots que je ne pourrais pas changer). Du coup quand j'ai su que c'était l'épilogue, j'ai pris mon courage à deux mains et ais lu en diagonale! Fin heureuse, femme comblée! Me reste plus qu'à retourner en arrière et reprendre là où j'en étais! Je garde mes commentaires sur le chapitre final n'ayant pas la fin dans son ensemble! D'avance une énorme merci pour ces moments de passion! Ca fait toujours drôle d'avoir la fin d'une histoire... Pointe de nostalgie! Merci pour l'écrit! |
![]() ![]() ![]() Je déprime. J’avais écrit une longue review directement sur FP et une fausse manœuvre m’a tout fait perdre. Bref. Je recommence car il me fallait te la laisser cette review. J’ai longtemps hésité à lire ce chapitre, mais il fallait croire que mon intuition l’avait senti venir. Il ne serait pas folichon, c’est ce qu’elle essayait de me dire. Tu me croiras ou non, mais dès les premières lignes de ce chapitre, j’ai su qu’il se finirait mal. De toute façon ta fiction m’a toujours laissé l’impression d’évoluer dans une torpeur lourde, une course dont l’issu s’assombrissait de jour en jour. Je ne sais pas si je peux parler d’issu fatale parce que malgré tout, il subsiste un espoir. J’avais le sentiment que le finish ne serait pas désastreux, même si on allait quand même vivre la catastrophe… puis essayer de réparer comme on peut, avec maladresse. A la lecture du mot « adieu » avec Manu, je suis passée du doute à la conviction. Il allait LE faire ce salaud de Gab. Il allait attenter à ses jours. Du coup ça été douloureux de lire tous ces moments de joie de bonheur, de tendresse, de romantisme et de jouissance de ton couple torturé. C’était trop beau pour n’être pas vrai et trop beau pour être vrai. Et j’ai mal au cœur pour Sacha, mal au cœur pour Gab qui mine de rien nous fait un beau syndrome bordeline, là. C’est quand même malheureux de voir que malgré tout ce qu’il a vécu d’heureux, de réconfortant, de positif, il a été incapable de se raccrocher à quelque chose, de se relever et de marcher tout seul. Il aura été égoïste jusqu’à la toute fin. Parce qu’il a beau être perdu ce pauvre garçon, je trouve quand même peu généreux ce qu’il a fait en retour… Après tout ce qu’on lui a donné. J’ai l’impression que cet acte extrême m’a fatigué en fait. Je me suis lassé de le plaindre. Non pas que j’abandonne, mais je me demande ce qu’il lui faut à Gab pour y arriver. Pour sortir définitivement la tête hors de l’eau. En gros ce chapitre m’aurait fait vivre des sentiments durs et intenses. Et pour ça, pour m’avoir toute retournée, je te dis MERCI ! La scène finale était presque insoutenable, rude et dure à la fois. J’ai rarement été aussi sensible à la détresse de quelqu’un et je trouve que tu as brillement retranscrit cela. Je n’ai eu de cesse d’être assaillie par cette lourdeur, cette grisaille de sentiment pendant tout le chapitre et tu réussis haut la main cet exercice. Mais paradoxalement j’avais envie de voir Gab aller jusqu’au bout de sa résolution morbide. Même si je me mordais le poing de douleur en lisant cela. Ton chapitre m’a poussé dans mes retranchements de sadisme, à espérer qu’il le fasse vraiment. Qu’il ne se défile pas. Même si une part de moi espérait le miracle, je voulais quand même que Gab aille jusqu’au bout de son suicide. Juste pour voir comment tu allais te démerder dans le chapitre suivant pour retourner le problème. Parce que oui, je reste persuadé qu’il y a une issu moins sombre. Sinon, eh bien Gan aurait été plus radical. En fait là, c’est ma casquette études de santé qui ressort. Je reste persuadée que lorsqu’on veut vraiment en finir, on prend des résolutions pour rendre les choses « irrémédiables ». Par exemple on se tranchant la carotide. C’est expéditif ça. Ou encore en se charcutant les veines de façon oblique et non verticale. Ça ne pardonne pas car les vaisseaux sont irrécupérables. Et enfin, on ne va pas le faire dans un endroit connu de tiers… Pour moi quand on veut vraiment en finir, il y a une psychologie morbide qui pousse l’individu à se renseigner sur comment rendre les choses « irréparables » en gros. BREF un suicide reste un appel ultime à l’aide. Après tout le choix des vestiaires n’est pas « anodin ». Je veux croire qu’inconsciemment, Gab espère qu’on le retrouvre. Alors je me permets d’espérer. Une fois de plus ton style rédactionnel reste très « poétique » (hormis quelques soucis, pour ma part je trouve qu’il manque un peu de ponctuation à certains endroits, comme les virgules ou les points virgules. En même temps, FP les vire. J’aurai peut-être dû lire depuis ton site directement. -_-‘’) ça reste un plaisir pour les yeux et ça me conforte dans ma fierté de compter parmi mes bouquins un Twilight. (parenthèse) ce qui m’évite de regretter d’avoir investi dans le Twilight de S. Meyer (fin de parenthèse) ;p Et à chaque fois je me retrouve jalouse à me dire : Epice, t’as encore du boulot. Va falloir bosser dur pour égaler ce niveau… Respect ! Cela dit, si j’ai relu Twilight plus de 3 fois dans sa globalité, je ne sais pas si j’en ferais autant avec Coloblind. Mais si ce jour arrive, il va falloir que je sois de très bonne humeur car ton personnage Gab impacte beaucoup sur mon ressenti. Là il est 2h du mat et je me dis que je dois lire le chapitre suivant car il m’est dur pour ne pas dire impossible de rester sur cette note sombre. Ce silence. J’ai du mal avec les fins « inéluctables ». Je suis une adepte du Happy end ou de fin ouverte et ce genre de fin presque fatale et si noire me laisse un gout amer. Je me surprends à déprécier un peu l’œuvre dans sa globalité. (Je pars du principe que le monde regorge de scénarios déjà sombres et cruels pour qu’on dépeigne encore une réalité – certes fictive - autant voire plus sombre. C’est un point de vue discutable, mais ça reste mon opinion.) Mais ne te méprends pas. J’adore le réalisme de ta fiction et rarement une fiction sur FP m’aura mis dans tous ces états. Espérons que la fin soit moins glauque… Pour un épilogue, c’était sombre à souhait. Le « angst » m’oppresse et je n’aime pas ce sentiment étouffant. Mais au final, ç’aura été une « belle » aventure… Et je commence à comprendre ce que tu entendais en disant que tu avais déjà prévu une fin qui ne plairait pas forcément à tout le monde. Mais comme il me reste encore deux chapitres à lire… Je me permets d’espérer. J’ai le droit de rêver _ Sur ce, je finis ma review avec cette question, qui de mon humble avis, devrait refléter le sentiment de ce cher Sachienka. BORDEL, POURQUOI ? |
![]() ![]() ![]() Je ne sais plus si je t'ai déjà laissé une review, j'avouerai volontiers en avoir honte si ce n'étais pas le cas. J'avais lu ton histoire jusqu'au chapitre 28, car il y a peu c'était encore le dernier chapitre en ligne de Colorblind. Cependant, lorsque j'ai vu dans ma boite mail que tu avais posté ces deux derniers chapitre, j'avoue avoir espéré une fin mielleuse, une happy end, à ces deux personnages auxquels je me suis tant attachée. Ils me semblent si réels, leurs défauts respectifs, ton écriture tout particulièrement belle, tout me faisait plonger dans une autre vie, une où j'étais spectatrice de l'évolution de ces deux amants. Mais cette fin... Je ne peux pas m'y résoudre. Il y a une suite. Il y a obligatoirement une suite. Après tout ce qu'ils ont surmonté, je ne peux pas me résoudre à penser que cela fini ainsi. Je ne peux pas, c'est au dessus de mes forces, et mes larmes qui perlent depuis bien dix minutes en sont la preuve flagrante. Je pleure comme je n'avais jamais pleuré, et pourtant dieu sait ce que j'ai versé des larmes pour certaines fictions *est un peu trop sensible à son goût...*. Je ne pourrais jamais assez te remercier de m'avoir fait vivre une telle histoire, si touchante, si belle, bien qu'encore une fois je le dise, je ne peux accepter une telle fin, c'est trop triste, beaucoup trop triste. Pour moi, Gabriel et Sacha ont le droit de vivre heureux ensemble une bonne fois pour toute, c'est injuste de les séparer... Merci pour tout ces mots écrits, et j'espère bientôt découvrir une nouvelle fiction de ta plume... Namie A. |
![]() ![]() Une amie m'a recommandé tes histoires, et ça fait une semaine que je suis avec passion Gabriel, Sacha et tous les autres. Je souhaite de tout cœur voir un autre chapitre à cette histoire, pour moi il est impossible que leur histoire s'arrête ici! Ils ont trop donné pour ne pas se retrouver. En tout cas, merci pour ces délicieux moments que tu fais vivre à travers tes écrits, tu as un réel talent et j'ai hâte de te lire encore! J'espère que tu projette déjà une nouvelle romance, de nouveaux personnages à me faire découvrir...après un dernier chapitre sur Gabriel et Sacha bien sûr Bonne continuation et félicitations Cookie |