Tres beau hâte pour la suite

Bon eh bien je suis encore de retour !
Dans un premier temps je voulais relever une grave erreur dans ma précédente review sur le chapitre 2. En effet, à la fin je parle de la séance de torture dirigée par Estébaal et en fait, le prisonnier dont je parle je l'appelle le milicien alors que non, ce n'est pas lui, mais bien le membre de la guilde des Masques, le seul survivant pour le moment, celui qui semblait plus causant que les autres. L'heure à laquelle j'ai écris cette review est sans doute la cause de moment d'égarement dans mon esprit (ou peut-être que je me cherche des excuses xD)

Soit, j'ai compris ça en commençant ce chapitre et ça m'a un peu chagriné de raconter n'importe quoi. Je vais donc faire un effort ici.

J'ai fini ce chapitre 3 (et dernier pour le moment... depuis 4 ans... (puisque j'écris en 2018)... pour ma plus grande tristesse...) hier soir... très tard. Trop tard ! Je voulais le couper en deux mais au final, j'ai été pris dans l'histoire et je n'ai pas pu m'arrêter. Je voulais savoir. Je voulais lire ce qui allait se passer. Je voulais assister aux révélations, aux découvertes d'Emmercar, aux aveux d'Estébaal, à la colère du lieutenant et au sang-froid inimaginable du mage noir ! Je voulais tout savoir, lire, imaginer, vivre ! Cette histoire me transporte vraiment. J'y suis à 200% dedans et ça m'en donne des frissons. D'où ma profonde peine en constatant qu'elle est visiblement abandonnée... un peu comme les mythes anciens de ce monde.
Malgré tout, je mets un point d'honneur à tout de même en parler, parce que j'aime ça, et qui sait, peut-être que cela pourrait créer un miracle et faire fleurir un petit chapitre 4 ? L'espoir fait vivre, il ne faut pas me l'ôter !

En commençant, j'ai eu un sourire immense aux lèvres en retrouvant le nom de Meshqipsah (du premier coup sans aucune faute !) au début, dans la citation. Une petite piqûre de rappel quant aux liens avec tes autres histoires (même si pour le moment, donc le 08/04/2018, je n'ai lu que L'Astrolabe) que je trouve à la fois subtile et bien placée. J'adhère !

Je suis toujours aussi accro à Estébaal et ses facultés à percevoir les émotions fortes d'Emmercar. Je trouve ça dangereux et tentateur. Emmercar est clairement une tentation, peut-être interdite, pour Estébaal. Est-ce toujours à cause de ses pouvoirs qu'il se retient ? Je ne sais pas réellement et ça m'intrigue beaucoup. Quant à Emmercar, il est littéralement sur le point d'exploser et je trouve ça génial ! J'aime beaucoup quand ça dérape de la sorte car ce n'est pas forcément facile à gérer quand on écrit. Ou alors c'est moi qui le gère mal ? Qui sait ? C'est très vraisemblable !
Je suis contente qu'Emmercar est pu assister aux funérailles de son ami. Je trouve ça très humain de la part d'un être aussi sombre qu'Estébaal. Et puis, ça nous permet, en tant que lecteur, tout du moins pour moi (je ne vais pas insinuer des choses à la place des autres si ce n'est pas vrai), d'avoir un bref aperçu sur les potentiels meurtriers de l'Estrie et le Gouverneur. De plus, la suite du chapitre appuie davantage sur tout ce qui a été dit avant.

Le passage avec Gashen (ledit milicien que j'ai confondu avec le prisonnier qui a fini en plateau repas) n'est pas touchant à mes yeux. Il ne l'est certainement pas de base. Gashen ne me fait pas pitié et son piètre discours ne m'a pas atteint. J'ai un peu de mal à saisir le fait qu'Emmercar y attache de l'importance mais dans un sens, en connaissant le personnage et le contexte, il y a de quoi douter même si moi je n'ai pas été convaincu. S'il affirme que la Mandragoule le manipule, pourquoi se donner tant de mal pour le sauver et le maintenir en vie, tranquillement, sans aucune chaîne ni cage ? Je le vois ainsi et donc, le discours de Gashen n'est que du vent à mes yeux. Mais pour quelqu'un comme Emmercar qui a longtemps travailler pour le Gouverneur et contre la Mandragoule, il y a en effet de quoi douter. Qui croire ? Un milicien de son milieu qui a été pris en train de bafouer des règles de paix ? Ou le chef d'une Guilde Noire que l'on traque depuis des années ? Le doute est évident et il est surtout vicieux. Vicieux parce qu'il est difficile de faire confiance. Il est d'autant plus rapide de la briser que de la confier. C'est quelque chose de précieux et de fragile. Et surtout, elle se mérite. Estébaal n'a pas l'entière confiance d'Emmercar. Il ne l'a que lorsqu'il est envoûté par sa personne. Mais quand il en est éloigné, le charme est rompu et le doute peut s'installer et fragiliser tout ça. Je pense que c'est ce qui se passe pour Emmercar. Comme de l'eau dans des brèches.

Le moment où Emmercar rend visite à Osmanthus, est particulièrement intéressant et instructif à mes yeux. Non seulement Osmanthus parle de choses intéressantes et utiles à l'histoire mais en plus on en apprend un peu plus sur Emmercar. Qu'il soit familier à la sorcellerie m'a beaucoup surpris au début, mais j'en ai rapidement été charmé. Ça rajoute un petit quelque chose au personnage qui le rend un peu plus unique et vivant. Si je ne suis pas pour les personnages à qui il arrive tous les malheurs du monde ou toutes les hybridations possible et inimaginable, j'aime quand ils sont tout de même complexe et pas juste résumé en une ligne d'attaque. Emmercar n'est pas que Lieutenant et ami du Gouverneur. Il est aussi fils d'une femme qui savait se servir de sorts et ça me plait. L'habit ne fait pas le moine comme on dit. La conversation qu'ils tiennent ensemble est très importante car elle apporte beaucoup. La seule chose à laquelle Gashen a servit a été de révéler un indice sur la mort du Gouverneur (indice très important je le conçois). Pour le reste, j'aime beaucoup l'approche qui est retranscrite ici. Et puis, j'ai aussi aimé la surprise d'Osmanthus face à l'aisance d'Emmercar dans son laboratoire.

Pour en venir à la serre, je pense avoir été aussi envoûté que Mercar. Ce miroir d'obsidienne (j'aime l'obsidienne même si ce n'est pas une vraie pierre. Mais c'est joli donc c'est suffisant) qui cache des choses qui n'ont jamais été entendu de personne. Et puis, tous ces aveux. Ces traces laissées par l'Estrie. Ces accords passés sans que jamais personne ne le sache. Sauf une. La colère d'Emmercar est légitime même si je ne la comprends qu'à moitié. Après tout, Estébaal lui avait dit pour le passage secret. Et lui a dit aussi que Radamanthe avait racheté le terrain où le puits se trouvait. Pourquoi sauter tout de suite sur des conclusions hâtives ? Parce que c'est génial pour l'histoire. Et je jubilais littéralement face à ça. J'avais très hâte de voir comme Estébaal allait se comporter face à la fureur d'Emmercar. Lui qui est si sensible à ses humeurs ! Et je n'ai pas été déçu. J'ai adoré imaginer Emmercar sur le point de rompre, de tailler cette peau si fine qu'il sait faire trembler, frémir subtilement. J'ai adoré le contrôle et la froideur d'Estébaal. Et j'ai adoré qu'Emmercar soit sur le point de mourir étouffé par je ne savais trop quoi au début. J'ai été captivé par le secours qu'Estébaal lui a offert. Et encore plus par l'incompréhension de Mercar ensuite. Ce moment de flottement où il ne sait plus du tout quoi penser. Une confusion qui ne le ramène qu'à une chose : Estébaal et sa personne magnétique, inoubliable, impensable. La suite ne m'a déçu du tout. Elle m'a enflammé ! Que dire si ce n'est que j'ai été charmé par ce baiser endiablé entre eux deux ! Estébaal qui semble à la fois en souffrir et renaître. Et Emmercar qui en veut plus, encore plus. Moi aussi j'en voulais plus. Mais j'aime aussi la frustration et je trouve que Zamoxis arrive au bon moment pour tout rompre. Joli coup de maître !

C'est vraiment dommage qu'il n'y ait pas la suite. J'aurais vraiment adoré découvrir comment Emmercar allait s'adapter à son nouveau milieu de vie. Comment sa relation avec Zamoxis allait se développer, ainsi qu'avec d'autres membres de la Mandragoule. J'aurais beaucoup aimé voir l'évolution de l'ancien milicien qui découvre qu'au fond, la Nécropole n'est peut-être pas une si mauvaise chose pour la ville. Et évidemment, j'aurais plus qu'aimer avoir la suite des événements avec Estébaal. J'aimerais tellement en apprendre plus sur lui, sur ses pouvoirs, son origine, son passé, sur ce qui l'a fait devenir ainsi. J'aurais aimé découvrir ce qui se cache dans sa tête, sur ses réelles intentions sur Emmercar, car il le suit depuis visiblement longtemps. J'aurais adoré les voir évoluer ensemble, découvrir d'autres secrets, sur eux, sur la vie, sur ce monde, sur les mythes, le passé de leur univers. J'aurais aimé tout ça mais pour l'instant, c'est visiblement impossible.

Je ne renonce pas. J'espère sincèrement que tu auras un jour le courage ou la patience de reprendre cette fiction qui est un petit bijou à mes yeux, Victoriane. Elle a un potentiel énorme et toi aussi. Ton univers, tes personnages, ta plume, tout est une harmonie qui me fascine et m'éblouit. J'espère que ces quelques reviews pourront, peut-être, te redonner goût à cette fiction, même si c'est peut-être prétentieux de ma part d'oser dire cela.

Soit, tu n'as pas fini de me voir, je n'ai pas fini de lire tout ce que tu as posté ici donc il ne fait presque aucun doute que tu me reverras par-ci par-là, avec plus ou moins les idées claires selon l'heure à laquelle j'apparaîtrais.
Je t'encourage très fort, j'aime vraiment ce que tu fais.
Bon courage à toi !
Vicky~

J'ai fini ce chapitre hier mais je l'avais commencé plusieurs jours avant (après ma dernière review) et je n'écris cette review que maintenant... Donc je vais faire avec mes souvenirs de ce chapitre et en allant fouiller un peu pour me souvenir des détails. Même si je pense que tout ne me reviendra pas. J'ai beau détailler mes reviews il y a toujours un point ou un élément qui m'échappe, je n'arrive jamais à tout dire x)

Comme pour le premier chapitre, j'aime beaucoup l'inscription de tablette qu'il y a. Ça donne une petite part mystique au texte et à l'univers. Ça me plait beaucoup de le lire.
J'adore la tension qu'il y a en Emmercar. Ce mélange subtil de colère et de désir, à la fois curieux et dégoûté, je trouve ça... explosif. Comme un compte à rebours. Et j'adore ça. J'aime quand, dans une histoire, on sait dès le début ce qui va se produire sans pour autant en savoir quand ou comment. Ici, je me doute bien qu'à un moment, Emmercar va finir par sauter sur Estébaal, ou alors peut-être l'inverse. Mais quand ? Aucune idée. Et ce qui va en résulter encore moins. Après avoir lu la fin du chapitre, je peux bien supposer que coucher avec Estébaal n'est pas forcément une bonne idée. Pas dans les mêmes circonstances en tout cas. Et je pense sincèrement qu'il y a un danger. Mais c'est aussi ce danger qui donne envie. C'est bien connu, ce qui est interdit attire deux fois plus. Alors ici, je n'ai qu'une envie : les voir tous les deux dans le même lit et faire des choses peu conventionnelles ! Mais prendre son temps fait aussi partie du jeu. La frustration est comme une drogue dont je m'abreuve et je suis patiente. Plus j'attendrais, et plus les personnages attendront, plus la tension augmentera, et plus le moment fatidique sera beau ! J'ai hâte parce que je suis persuadée que tout ne sera pas simple, et j'aime ce qui est compliqué.

Pour en revenir plus concrètement à l'histoire, j'ai été très intrigué par ce qui se magouillait dans le dos d'Emmercar entre la milice et la guilde des Masques. Un tel complot est si mal venu. Il explique certaines choses mais pas tout. J'ai pu sentir qu'Emmercar était ébranlé, et il y a de quoi. Mais ce que j'ai le plus aimé, c'est Estébaal (encore et toujours). La façon dont il a fait parler les hommes. À croire qu'il a la lame facile. J'ai trouvé ça beau en un sens. Imaginer un tel être prendre si facilement la vie d'un autre homme, sans sourciller, sans aucun tremblement, sans aucune faiblesse. D'apparence, évidemment. Qui sait ce qu'il se passe à l'intérieur ? Mais je peux dire que j'ai adoré lire ce passage. Cette lame qui change de couleur à mesure qu'elle rencontre des sangs différents, des chairs différentes, des chaleurs différentes. Et que dire sur l'humiliation de certains des prisonniers. Je trouve ça franchement crédible. Assez sale, mais parce que ça l'est pour une utilité, j'aime. Ce n'est pas juste là pour humilier le personnage même s'il est très secondaire. C'est utile à l'histoire, c'est crédible. Se pisser dessus de peur, ça parait logique (à mon sens) quand on voit un sorcier contre lequel sa guilde lutte, évincer avec une aisance sans pareille ses camarades. Ne pas prendre peur serait invraisemblable !

J'ai beaucoup aimé l'appellation d'Estébaal envers Emmercar. "Mercar"... très intime quand même. J'adore ça. Comme j'aime le moindre de leur frisson, le plus petit frôlement, les sous-entendus et les regards appuyés. Je les ship bien ensemble en effet !
Pour en venir à l'interrogatoire du milicien disons que j'ai été... aussi perdu qu'Emmercar au début. En vérité, je me suis d'abord dit que c'était trop. Ok, j'aime bien les scènes de sexe explicite et j'adore (un peu trop) Estébaal, mais là, en premier lieu, je me suis dit non, c'était trop forcé, vraiment trop. Comme mettre du sexe juste pour du sexe et rien d'autre. Mais au final, en continuant de lire, j'ai revu mon jugement. Après tout, Estébaal est un nécromancien. Il a certes dit qu'il aimait les émotions négatives (comme la colère d'Emmercar) mais il n'a jamais précisé comment il se nourrissait. Alors, le voir vider son prisonnier de son essence vitale d'une telle façon, au final j'ai aimé. J'avoue avoir plus aimé le voir (le lire) prendre la vie du jeune milicien que tout le reste, plus que l'acte. Et j'ai aussi aimé le fait qu'Estébaal semblait en souffrir. Prendre ainsi la vie d'autrui l'attriste-t-il ? Aurait-il voulu une toute autre existence ? Regretterait-il ce qu'il est ? Ce sont des questions qui peuvent se poser à la fin de ce chapitre. Je me les suis moi-même posée. Je pense qu'il y a vraiment quelque chose dans ce sens. Estébaal semble à la fois près à s'écrouler et étonnement fort. Quelque chose de fragile et de pourtant extrêmement puissant. Je suis folle de ce genre de contraste. J'en suis réellement friande et je ne m'en lasse pas ! Alors, découvrir qu'Estébaal est une magnifique créature fait de noirceur, je ne peux qu'adhérer ! Comme une mandragore~ Une jolie fleure qui pourtant est un onctueux poison mortel. N'est-ce pas magnifique ? Moi j'adore et Estébaal est cela à mes yeux. Beau et mortel. Fragile et puissant. Délicatement funèbre. Je pense même qu'Emmercar en prend de plus en plus conscience et qu'au lieu de le répugner, cela ne fait que l'attirer. Comme un piège à moustique où en fait, la jolie lumière attire le papillon de nuit jusqu'à ce qu'elle ne s'approche de trop près et ne la tue d'une décharge électrique. Boum ! Plus de papillon. Peut-être est-ce le sort qui attend Emmercar. Ou peut-être qu'Estébaal aimerait justement ne pas brûler les belles ailes de son papillon. On peut imaginer beaucoup de choses mais j'avoue en avoir assez d'écrire et j'aimerais vraiment lire la suite.

Ce sera donc sur cette image un peu douteuse que je vais m'arrêter. Ce n'est pas l'envie de parler de ce chapitre et de ce qui s'y passe qui me manque mais plus une certaine frustration de passer une demi-heure à écrire alors qu'il me suffit de cliquer sur un bouton pour avoir le chapitre suivant.

Je vais donc de ce pas le lire tout en continuant de t'encourager !
Vicky~

Qu'il est étonnant de me retrouver sur cette histoire, n'est-ce pas ? Peut-être pas finalement. Être malade a ses côtés "avantageux", si je puis dire. Disons que j'ai du temps et vu que ma tête refuse de réfléchir convenablement pour que je puisse écrire, eh ben je lis ! (même si concrètement ici j'écris une review... Il faudra donc craindre ce que je dis... je crois ?)

Je n'ai pas lu Sortie des Sables (pour le moment) donc je suis bien contente de pouvoir lire cette histoire sans en avoir besoin. Pour tout dire, le début, la simple inscription sur la tablette, m'a charmé ! Je ne sais pas réellement comment l'expliquer mais la tournure des phrases m'a beaucoup plu. Et puis, je ne sais pas trop pourquoi mais j'aime beaucoup les mandragores. Cette plante qui fait tant parler d'elle, surtout au Moyen Âge. Bien qu'il n'y ait pas que ça. Oui, j'aime les mandragores et je m'amuse à toujours les confondre avec les manticores (ce qui est très différent je l'accorde). C'est un détail mais il a son importance.

J'ai été un tout petit peu surprise au tout début, en constant que le récit était à la troisième personne et pas à la première comme pour L'Astrolabe. Après, ça ne me dérange pas du tout, j'arrive très bien à passer de l'un à l'autre (c'est plus compliqué quand c'est à la deuxième personne). Soit !
Au début, je me suis demandée où ça allait mener. J'ai continué, faisant confiance, jusqu'à être perdu sur le nombre de personnages quand huit sont annoncés. Je n'en comptais que sept. Mais après j'ai compris mon erreur, donc j'ai continué. Je me suis un peu perdu entre les personnages, entre le vieux borne, la silhouette qui ne cesse d'écrire (et qu'évidemment, on soupçonne être l'autre clé de l'histoire), et celui qui a frappé Emmercar. Mais ensuite ça a été mieux. Et au final, j'étais comme Emmercar. Je voulais savoir qui était cette silhouette énigmatique. Alors, quand j'ai découvert sa description, j'ai été... hypnotisé ! Comment dire ça sans passer pour une folle furieuse ? C'est simple ! Si un personnage dans une fiction est roux, il gagne tout de suite des points de ma part. Qu'importe comment il est, je suis complètement dingue des roux ! Et celui-ci, bon dieu, Estébaal est tout simplement magnifique ! Un roux foncé aux yeux de malachite, svelte avec des runes sur le visage. Je fonds littéralement devant ! Il est sublime à mes yeux. Sans parler de son caractère très... je ne sais pas comment le qualifier mais je l'adore. Un mélange absolument parfait ! Ce personnage est une perle, j'en suis folle !

Bref, je vais essayer de me reprendre un peu, je divague (mettons ça sur le compte de la maladie). J'ai été, comme Emmercar, totalement envoûté par Estébaal. Et je me suis posée autant de questions que lui. Quel est l'intérêt, pour le nouveau chef de la Mandragoule de garder Emmercar de son côté et en vie s'il n'a rien à lui apporter ? Il a peut-être dit qu'il avait besoin d'alliés car il avait suffisamment d'ennemis, mais je me plais à croire que c'est autre chose. Il doit y avoir un intérêt quelque part. Quoi ? Je ne saurais dire, je ne connais pas bien le monde dans lequel tout se déroule pour y poser des hypothèses comme il m'arrive de parfois en faire. Ou est-ce trop tôt, tout simplement ? Après tout je n'ai lu qu'un chapitre. Cependant, beaucoup de choses m'intrigue. Que ce soit la Nécropole ou encore les plans d'Estébaal.

J'ai halluciné sur son franc parlé et je me suis même demandé si Emmercar allait réellement lui sauter dessus quand Estébaal lui avoue le vouloir. J'aime ce genre de contraste. Les personnages beaux sur eux, avec un langage visiblement soutenu, qui, brusquement, sans crier gare, lâche une jolie réplique fleurit ou crue. Je trouve ça tellement excitant et intéressant aussi. Alors qu'Estébaal ne soit pas juste ce petit héritier aux pouvoirs apparemment poussés qui joue les "monsieur je sais tout" m'a beaucoup plu. En fait, tout dans ce personnage me plait. J'adore sa façon d'être et je jubile à chaque fois qu'Emmercar le met à mal en s'énervant tout seul, faisant grandir sa frustration intérieur ou ses désirs péchés. Je trouve cette "faiblesse" (je ne sais pas réellement si s'en est une) très crédible envers le Nécromant, car s'il avait été intouchable, d'un coup, il aurait perdu un peu de son charme (je l'aurais toujours aimé, évidemment). Je ne sais pas trop comme m'exprimer. J'ai déjà du mal d'ordinaire, et là avec la tête en vrac j'ai l'impression que cette review part dans tous les sens et n'a pas de réel intérêt (c'est peut-être le cas d'ailleurs...).

Tout le contexte me fascine énormément. La Nécropole semble cacher un certain nombre de choses et j'ai hâte de les découvrir. Je dois dire que cette magie est sans nul doute grâce aux descriptions précises et envoûtantes qui serpentent dans le texte. Je suis admirative de chacune d'entre elle. J'aime beaucoup les lire, imaginer les couleurs, les dorures, les ornementations, les parts de ténèbres ou les nuances rougeoyantes qui se faufile dans l'histoire. Je trouve ça transportant et j'aime voyager à travers ce genre de texte. Non seulement les personnages semble rudement bien construit (et c'est un détail important à mon sens) mais en plus la plume qui va avec monte un décor somptueux et richement fait. Je ne peux qu'approuver cela et je m'en délecte des yeux.

Ah si ! Un détail qui m'a fait beaucoup sourire et je n'ai aucune idée de si c'est réellement le cas ou non, mais déjà, avec le nom de la mandragore, ça m'a fait penser à un manga. Puis le nom de Rhadamenthe me l'a à nouveau fait. Je n'ai aucune idée de si tu connais ou aimes le manga de Saint Seiya Victoriane, mais j'ai ri parce que moi je l'adore et que ces deux petits éléments m'y ont fait penser.

Alors je pense que cette review est très brouillonne, et il est plus que probable qu'elle n'est ni queue ni tête ou encore que j'ai oublié de parler de certaines choses que je voulais évoquer. Mais comme ça fait déjà deux heures que je suis dessus (oui, la fièvre ça ralentit les neurones) et que j'ai quand même envie de lire la suite l'air de rien, je vais m'arrêter là, prendre un truc pour ma tête et m'attaquer à la suite (en jubilant bien sur Estébaal d'avance !)

Bonne continuation à toi !
Vicky~

Bien le bonsoir !
J'adore vos histoires, et je pese mes mots en disant cela. Je lis une imposante quantité de romans en plusieurs langues et en tout genre, mais pourtant rare sont ceux qui me donne ce sentiment indescriptible de ne faire qu'un avec l'univers d'une histoire. Elles me transportent au coeur un monde de magie, de lumières et de ténèbres qui me font battre le coeur. C'est indescriptible, votre talent d'écriture est l'un des meilleurs que j'ai eu le plaisir de lire. J'ai lu quelque part qu'une histoire de qualité était toujours écrite à la manière fluide d'une chanson, si ces dires sont véridiques, les votres font certainement parties des mélodies unique et envoutantes. Il semblerait que cette histoire est été abandonnée, mais oh combien je donnerais pour lire la suite. Merci tout de même pour ce court moment de lecture, sachez seulement que j'ai vraiment apprécié et que j'en suis reconnaissante. S'il-vous-plait, ne vous arrêtez jamais d'écrire.

Mes sincères salutations.

- D'une québecoise qui vous admire beaucoup. :)

Chaque fois que je relis cette histoire je m'émerveille ! :-) Je t'en prie, ne l'abandonne pas ! A bientôt j'espère.

Vraiment j aime toutes vos histoires

Bonjour !

J'espère ne pas déranger avec ma demande ! Mais voilà j'ai lu cette fiction dès sa sortie et puis j'ai attendu la suite en me disant que ça viendrait quand ça sera possible ! Mais comme ça fait 2 ans je m'inquiète de savoir s'il y aura une suite ou non ?

J'adore beaucoup cette histoire ! Merci !

Salut ! Juste un petit mot rapide pour te dire que j'adore cette histoire. Tu as vraiment un super talent pour instiller une atmosphère particulière à tes fictions et c'est toujours bien écrit, super agréable à lire. J'attends la suite avec impatience. En attendant bon courage pour l'écriture !

Bonsoir ! Je viens te demander si par hasard cette fiction était arrêtée ? Car j'adore vraiment cette histoire et du coup je m'inquiétais de ne pas avoir de suite :o

Bon weekend !

Ouah ! ce côté beaucoup plus noir est vraiment prenant. J'aime vraiment ton style et j'apprécie vraiment ce que tu fais de tes perso.

A très bientôt :-)

Wow! J'adore!

Merci beaucoup j'ai adoré Sortie des Sables et la je suis heureuse de retrouver cet univers même si différents :D J'ai hâte de voir comment l'histoire va évoluer ! Bisous
Zeau

Qu'est-ce que j'aime l'ambiance du monde que tu as créé ! Je vais encore lire ce chapitre en boucle bien deux ou trois fois juste comme ça ; )
L'intrigue commence à se dénouer un peu, mais il y a tellement de fils à suivre que finalement, on n'y voit pas beaucoup plus claire. Et ça, c'est super !
J'ai vraiment hâte de lire la suite :D

Nyan 3
Un petit chapitre transition comme je les aimes.
La chose pour laquelle je pourrait te faire des louange s est encore et toujours ta façon d'écrire. Bien qu'il y ai parfois des irrégularités, quel plaisir de tomber sur des phrases semblables à des poèmes tellement le son s'en dégageant est harmonieux. C'est une des grandes forces de tes écrits, la poésie.
Grâce à ça, le lecteur perçoit petit à petit, par infimes parcelles les traits de ton univers qui même si pour l'instant n'est pas totalement abouti (faute de chapitres, pascience non mais !) laisse de belles promesses.
Que dire de ton histoire en elle même.
Je n'observe pas de rupture dans le déroulement à proprement parler, c'est fluide dans l'ensemble sans gros hiatus venant tâcher le décors.
Tu as fait le choix de nous dévoiler un héros perturber par ce qu'il se passe et ce qu'il devient. J'aime bien sa personnalité bien qu'elle ai également tendance à être certaines fois antipodique. Les événements en sont en la cause je suppose, mais la magie de ce cher Nécromancien n'aurait-elle n'aurait-elle pas sur lui plus d'effet qu'il ne le pense ? A voir. J'espère qu'il se débarrassera de certain poids pour éviter de tomber dans un personnage chaotique..
Estebaal quand à lui reste un énigmatique à mes yeux. On se doute que celui-ci a dû et doit encore souffrir de son pouvoir et de son passé mais faite qu'il cache encore des particularités X3. (j'aime bien l'idée qu'il puisse tuer de "sang froid" et de toute façon il le doit de part son statut, mais il semble qu'il pourrait ne pas apprécier cette partie ).
Et que va-t-il arriver à Gashen ? Va-t-il se retirer du récit ou réaparaîtra-t-il au court du récit ? Nous le verrons bien .
Toujours est-il que ton histoire est encore une fois prometteuse et sûre je la suivrait sans hésiter .