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|Les cheminées fumantes enveloppaient Paris d'une | | |brume artificielle, et firent tousser Harold. | | |Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une | | |vieille dame qu'il croisait. Apercevant la | | |photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un | | |voyage, un long et beau voyage... aux côtés de | | |celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut | | |face à la porte. | | | | | Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une | |poudrée voix chanta: | | - Qui est là? | | - C'est Harold! Répondit celui-ci. | | - Je ne connais aucun Harold! Dit la voix. | | Il y eut un silence. | | - C'est toi, Cynthia? Fit Harold. | | La porte s'ouvrit soudain: | | - Mais oui c'est moi, mon Harold! Je t'ai bien eu. | | Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps: | | - Entre, dit-elle. | | Harold pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir | |dans un fauteuil. Cynthia vint s'asseoir près de lui. | | - Alors, que racontes-tu? | | - Euh... rien, rien de bien spécial. | | Harold semblait ailleurs. Son amie s'en aperçut et lui demanda | |s'il allait bien. | | - Oui, je vais bien! En fait... | | - En fait? | | - En fait, j'ai simplement envie de t'embrasser. | | Cynthia eut un sursaut. | | - Me... mais... moi? | | - Oui. | | Un silence s'ensuivit. Harold comprit qu'il était allé trop loin.| | | | - Excuse-moi, Cynthia, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. | | - Tu ne le sais pas? | | - Euh... à vrai dire, euh... enfin, je voulais dire que... | | - Est-ce que tu étais sérieux? Le coupa Cynthia. | | Il hésita. | | - Je suppose que non. J'ai sûrement dit ceci sans réfléchir. Je | |suis désolé. | | - Harold... | | - Je suis désolé, oublie ça. | | - Harold, embrasse-moi... | | Cette fois-ci, ce fut lui qui sursauta. Après un moment, sans mot| |dire, il approcha ses lèvres de celles de Cynthia. Puis, dans le | |silence de cette maison tranquille, au milieu d'une journée comme | |les autres, ils s'embrassèrent pour la première fois. | | Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Cynthia poussa un soupir qui| |résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Harold en | |profita pour articuler, le coeur battant: | | - Je t'aime. | | Son amie le regarda. | | - C'est vrai? | |- Depuis seulement 24 heures que je t'ai vue, j'ai toujours su que | |c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.| | | | - Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Cyntia. | | - Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus joyeuse que | |je n'ai jamais connue! La plus joyeuse de tout Paris! Les gens ne | |t'arrivent pas à la cheville. | | - Mais et toi, tu es si masculin... | | - Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai | |l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression| |que mon coeur se fait piétiner par un féroce lion, ou transpercer | |par mille lances empoisonnées. | | - Mais toi aussi, Harold, tu as beaucoup de qualités... | | - Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes | |embrassés. | | Il n'en fallut pas plus à Cyntia pour saisir le bras de Harold et| |lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent | |cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un | |océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans | |les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient | |fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau | |de Riopelle, ou comme ''Raindrop Prelude'' de Chopin. Tout | |rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse | |qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur | |passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait,| |des vertiges les prenaient, Harold ferma les yeux et eut | |l'impression de écrire des fictions en haut d'un saule pleureur. Et| |soudain tout s'arrêta. | | - Cyntia... | | - Oui?... | | - Cyntia... veux-tu m'épouser?... | | - Oui... fit-elle doucement. | | Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des| |yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient. | | - Ne me quitte jamais, disait Harold. | | - Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop gentil pour que je | |te quitte, répondait Cyntia. Tu es l'opposé de la bêtise, de la | |brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Marteu. Je ne sais | |pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme. | | Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.|
|Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité | |commença pour eux. |
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Liah sursauta lorsqu'elle sentit le souffle de son frère derrière elle.
-C'est quoi que t'écris Liah!! C'est super laid et sa a aucun rapport!!! - Je l'aie pas écrit!! J'ai juste remplis un formulaire demandant des choses comme 'le nom du personnage mâle' ou ' donner un adjectif' pis après sa a donner ça!!
Son frère la regarda étrangement.
-Je sais bien que tu as plus d'inspiration pour ton histoire, mais franchement c'est pas des trucs comme ça qui vont t'aider!!!
Il disparut aussitôt de la chambre de Liah. Elle poussa un long soupir. Pour l'école, elle devait rendre une sorte de roman d'au moins 50 pages et de préférence une histoire d'amour. Elle détestait écrire. Elle n'avais aucune idée ou commencer! Elle avait regarder tout les romans savon du monde pendant au moins une semaine pour essayer d'analyser les histoires d'amour. Elle était dans ce pétrin à cause de son amie Gerdi. Gerdi était le contraire de Liah. Elle adorait écrire des histoires tout le temps. Un jour, en classe, Gerdi avait passé sa nouvelle histoire à Liah pour qu'elle critique. C'est là que la prof avait surpris Liah en train de lire une histoire d'amour torride entre deux jeunes adolescents accros à la coke. Pas le genre d'histoire qu'on aimerait être surpris en train de lire durant un cours de français sur le texte explicatif. La prof avait exigée que Liah écrivent une histoire d'amour pour la classe. Pas très joyeux. Et Gerdi voulait même pas l'aider. /Saloperie de merde T_T/!!
Bon alors, petit effort Liah tu est capable! / pourquoi moiiiii j'ai jamais été sentimentale en plussss/ Ok, alors, on va dire que c'est l'histoire d'un gars (... euh on va dire Victor), donc Victor est un homme. / bravo!!/
Mais Victor n'était pas une homme ordinaire. Il était un / idée ... besoin d'une idée/ un gardien de zoo /alalalaal je sens que ça va être long/. Il avait toujours aimer les animaux et ils le lui rendait bien / super histoire d'amour entre Victor et son super Gorille..../ Tout les jours lorsqu'il e levait le matin, il se regardait dans le miroir et souriait. Il souriait parce qu'il était fière. Fière, mais pas heureux. Il aimait les animaux, mais il lui manquait quelque chose. Il se sentait incomplet. Il avait besoin d'une femme / huggnnn femme besoin/ d'une femme qui saurait le comprendre et l'aimer pour ce qu'il était /je persiste à dire que le gorille serait mieux/ Un femme qui.....
Non, trop plate. Qui pourrait franchement s'intéresse à la recherche d'une femme par un gardien de zoo? Liah était franchement découragée /je suissss pocheeeee!!! le truc d'Internet était meilleur!!!/ Elle ferma l'ordinateur et alla se coucher dans son lit.
/ peut être que si je prends la vie de quelqu'un qui existe et que je prends ce personnage là au lieu d'inventer quelqu'un hors rapport... idée!!/
Lucie se sentait seule depuis la mort de son mari. Elle habitait dans une grande maison vide. Maintenant elle ressentait le désir d'avoir des enfant pour remplir se vide que son mari avait toujours eu. Son mari avait été un porc Il l'avait battu plusieurs fois avant qu'elle prennent sa revanche.Un jour elle avait pris son couteaux de cuisine et avait tuer son mari. /pourquoi suis-je si sadique avec ma voisine???/ Maintenant qu'elle était recouverte du sang de son mari, la maison était vide.
/muahahahah ça c'était plus sadique mais qui pourrait être le love-interest de lucie maintenant?? bon je laisse tomber/
Liah se retourna dans son lit et s'endormi aussitôt. Elle rêva que Lucie rentrait dans le zoo de Victor et tuait le gorille.
Le lendemain elle devait retourner à l'école! / merde la prof va encore me taxer pour mon roman!!/
- LIAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
/ oh merde/
- Euh... Salut Jane
- Salut Liah!!!! Dit tu peut venir à ma fête ce soir???
/ Sa fête ??/
Jane était le genre de fille qui collait après tout le monde. Au début de l'année elle collait toujours Frank parce qu'elle le trouvait beau. Mais depuis que celui-ci l'avais presque assommer et que Liah l'avait défendu, Jane collait Liah.
/ j'aurais du laissé Frank la tuer/
- Dit ton roman il avance?
- Euh... j'arrive pas a commencer!
- Tu pourrais peut être écrire une histoire sur le prof!
- Le prof?
Monsieur Berger se tenait dans sa salle de classe. La cloche avait sonné deux secondes plus tôt et maintenant sa salle était vide. Il faut dire que le professeur d'enseignement religieux n'était pas le prof préféré des élèves. Il soupira. Mais il se rendit compte tout d'un coup qu'il n'était pas vraiment seul dans la classe. Une jeune fille au fond prenait tout son temps pour ramasser ses choses. Il ne l'avait jamais remarqué avant ce jour. Elle avait des cheveux blonds sales couper court et des grands yeux brun foncé. Elle passât près du professeur. Trop près. Il ouvrit grand ses yeux lorsqu'elle lui souhaita le bonjour avec un sourire séducteur à l'extrême. Quand elle partit il bafouilla un 'Bonjour mademoiselle Jane' en retour.
Liah éclata de rire à cette pensé et son fou rire était si grand qu'elle se mit à pleurer de rire devant une Jane qui ne comprenait absolument rien.
Décidément, son environnement était une inspiration suffisante. Elle n'avait pas besoin d'inventer quoi que ce soit quand tout ce qu'elle avait besoin pour écrire son roman se trouvait tout autour d'elle.
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Je sais c'est trèèèès étrange! En tout REWIEW please merci
|Les cheminées fumantes enveloppaient Paris d'une | | |brume artificielle, et firent tousser Harold. | | |Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une | | |vieille dame qu'il croisait. Apercevant la | | |photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un | | |voyage, un long et beau voyage... aux côtés de | | |celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut | | |face à la porte. | | | | | Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une | |poudrée voix chanta: | | - Qui est là? | | - C'est Harold! Répondit celui-ci. | | - Je ne connais aucun Harold! Dit la voix. | | Il y eut un silence. | | - C'est toi, Cynthia? Fit Harold. | | La porte s'ouvrit soudain: | | - Mais oui c'est moi, mon Harold! Je t'ai bien eu. | | Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps: | | - Entre, dit-elle. | | Harold pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir | |dans un fauteuil. Cynthia vint s'asseoir près de lui. | | - Alors, que racontes-tu? | | - Euh... rien, rien de bien spécial. | | Harold semblait ailleurs. Son amie s'en aperçut et lui demanda | |s'il allait bien. | | - Oui, je vais bien! En fait... | | - En fait? | | - En fait, j'ai simplement envie de t'embrasser. | | Cynthia eut un sursaut. | | - Me... mais... moi? | | - Oui. | | Un silence s'ensuivit. Harold comprit qu'il était allé trop loin.| | | | - Excuse-moi, Cynthia, je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. | | - Tu ne le sais pas? | | - Euh... à vrai dire, euh... enfin, je voulais dire que... | | - Est-ce que tu étais sérieux? Le coupa Cynthia. | | Il hésita. | | - Je suppose que non. J'ai sûrement dit ceci sans réfléchir. Je | |suis désolé. | | - Harold... | | - Je suis désolé, oublie ça. | | - Harold, embrasse-moi... | | Cette fois-ci, ce fut lui qui sursauta. Après un moment, sans mot| |dire, il approcha ses lèvres de celles de Cynthia. Puis, dans le | |silence de cette maison tranquille, au milieu d'une journée comme | |les autres, ils s'embrassèrent pour la première fois. | | Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Cynthia poussa un soupir qui| |résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Harold en | |profita pour articuler, le coeur battant: | | - Je t'aime. | | Son amie le regarda. | | - C'est vrai? | |- Depuis seulement 24 heures que je t'ai vue, j'ai toujours su que | |c'était toi l'amour de ma vie. Et ce, malgré mes aventures passées.| | | | - Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Cyntia. | | - Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus joyeuse que | |je n'ai jamais connue! La plus joyeuse de tout Paris! Les gens ne | |t'arrivent pas à la cheville. | | - Mais et toi, tu es si masculin... | | - Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai | |l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression| |que mon coeur se fait piétiner par un féroce lion, ou transpercer | |par mille lances empoisonnées. | | - Mais toi aussi, Harold, tu as beaucoup de qualités... | | - Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes | |embrassés. | | Il n'en fallut pas plus à Cyntia pour saisir le bras de Harold et| |lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent | |cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un | |océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans | |les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient | |fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau | |de Riopelle, ou comme ''Raindrop Prelude'' de Chopin. Tout | |rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse | |qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur | |passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait,| |des vertiges les prenaient, Harold ferma les yeux et eut | |l'impression de écrire des fictions en haut d'un saule pleureur. Et| |soudain tout s'arrêta. | | - Cyntia... | | - Oui?... | | - Cyntia... veux-tu m'épouser?... | | - Oui... fit-elle doucement. | | Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des| |yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient. | | - Ne me quitte jamais, disait Harold. | | - Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop gentil pour que je | |te quitte, répondait Cyntia. Tu es l'opposé de la bêtise, de la | |brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Marteu. Je ne sais | |pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme. | | Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.|
|Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité | |commença pour eux. |
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Liah sursauta lorsqu'elle sentit le souffle de son frère derrière elle.
-C'est quoi que t'écris Liah!! C'est super laid et sa a aucun rapport!!! - Je l'aie pas écrit!! J'ai juste remplis un formulaire demandant des choses comme 'le nom du personnage mâle' ou ' donner un adjectif' pis après sa a donner ça!!
Son frère la regarda étrangement.
-Je sais bien que tu as plus d'inspiration pour ton histoire, mais franchement c'est pas des trucs comme ça qui vont t'aider!!!
Il disparut aussitôt de la chambre de Liah. Elle poussa un long soupir. Pour l'école, elle devait rendre une sorte de roman d'au moins 50 pages et de préférence une histoire d'amour. Elle détestait écrire. Elle n'avais aucune idée ou commencer! Elle avait regarder tout les romans savon du monde pendant au moins une semaine pour essayer d'analyser les histoires d'amour. Elle était dans ce pétrin à cause de son amie Gerdi. Gerdi était le contraire de Liah. Elle adorait écrire des histoires tout le temps. Un jour, en classe, Gerdi avait passé sa nouvelle histoire à Liah pour qu'elle critique. C'est là que la prof avait surpris Liah en train de lire une histoire d'amour torride entre deux jeunes adolescents accros à la coke. Pas le genre d'histoire qu'on aimerait être surpris en train de lire durant un cours de français sur le texte explicatif. La prof avait exigée que Liah écrivent une histoire d'amour pour la classe. Pas très joyeux. Et Gerdi voulait même pas l'aider. /Saloperie de merde T_T/!!
Bon alors, petit effort Liah tu est capable! / pourquoi moiiiii j'ai jamais été sentimentale en plussss/ Ok, alors, on va dire que c'est l'histoire d'un gars (... euh on va dire Victor), donc Victor est un homme. / bravo!!/
Mais Victor n'était pas une homme ordinaire. Il était un / idée ... besoin d'une idée/ un gardien de zoo /alalalaal je sens que ça va être long/. Il avait toujours aimer les animaux et ils le lui rendait bien / super histoire d'amour entre Victor et son super Gorille..../ Tout les jours lorsqu'il e levait le matin, il se regardait dans le miroir et souriait. Il souriait parce qu'il était fière. Fière, mais pas heureux. Il aimait les animaux, mais il lui manquait quelque chose. Il se sentait incomplet. Il avait besoin d'une femme / huggnnn femme besoin/ d'une femme qui saurait le comprendre et l'aimer pour ce qu'il était /je persiste à dire que le gorille serait mieux/ Un femme qui.....
Non, trop plate. Qui pourrait franchement s'intéresse à la recherche d'une femme par un gardien de zoo? Liah était franchement découragée /je suissss pocheeeee!!! le truc d'Internet était meilleur!!!/ Elle ferma l'ordinateur et alla se coucher dans son lit.
/ peut être que si je prends la vie de quelqu'un qui existe et que je prends ce personnage là au lieu d'inventer quelqu'un hors rapport... idée!!/
Lucie se sentait seule depuis la mort de son mari. Elle habitait dans une grande maison vide. Maintenant elle ressentait le désir d'avoir des enfant pour remplir se vide que son mari avait toujours eu. Son mari avait été un porc Il l'avait battu plusieurs fois avant qu'elle prennent sa revanche.Un jour elle avait pris son couteaux de cuisine et avait tuer son mari. /pourquoi suis-je si sadique avec ma voisine???/ Maintenant qu'elle était recouverte du sang de son mari, la maison était vide.
/muahahahah ça c'était plus sadique mais qui pourrait être le love-interest de lucie maintenant?? bon je laisse tomber/
Liah se retourna dans son lit et s'endormi aussitôt. Elle rêva que Lucie rentrait dans le zoo de Victor et tuait le gorille.
Le lendemain elle devait retourner à l'école! / merde la prof va encore me taxer pour mon roman!!/
- LIAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!
/ oh merde/
- Euh... Salut Jane
- Salut Liah!!!! Dit tu peut venir à ma fête ce soir???
/ Sa fête ??/
Jane était le genre de fille qui collait après tout le monde. Au début de l'année elle collait toujours Frank parce qu'elle le trouvait beau. Mais depuis que celui-ci l'avais presque assommer et que Liah l'avait défendu, Jane collait Liah.
/ j'aurais du laissé Frank la tuer/
- Dit ton roman il avance?
- Euh... j'arrive pas a commencer!
- Tu pourrais peut être écrire une histoire sur le prof!
- Le prof?
Monsieur Berger se tenait dans sa salle de classe. La cloche avait sonné deux secondes plus tôt et maintenant sa salle était vide. Il faut dire que le professeur d'enseignement religieux n'était pas le prof préféré des élèves. Il soupira. Mais il se rendit compte tout d'un coup qu'il n'était pas vraiment seul dans la classe. Une jeune fille au fond prenait tout son temps pour ramasser ses choses. Il ne l'avait jamais remarqué avant ce jour. Elle avait des cheveux blonds sales couper court et des grands yeux brun foncé. Elle passât près du professeur. Trop près. Il ouvrit grand ses yeux lorsqu'elle lui souhaita le bonjour avec un sourire séducteur à l'extrême. Quand elle partit il bafouilla un 'Bonjour mademoiselle Jane' en retour.
Liah éclata de rire à cette pensé et son fou rire était si grand qu'elle se mit à pleurer de rire devant une Jane qui ne comprenait absolument rien.
Décidément, son environnement était une inspiration suffisante. Elle n'avait pas besoin d'inventer quoi que ce soit quand tout ce qu'elle avait besoin pour écrire son roman se trouvait tout autour d'elle.
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Je sais c'est trèèèès étrange! En tout REWIEW please merci